La norme ISO 26000 stipule que la RSE est « la responsabilité d’une organisation vis-à-vis des impacts de ses décisions et activités sur la société et sur l’environnement, se traduisant par un comportement transparent et éthique qui : (1) contribue au développement durable, y compris à la santé et au bien-être de la société ; (2) prend en compte les attentes des parties prenantes ; (3) respecte les lois en vigueur et est en accord avec les normes internationales de comportement ; (4) est intégré dans l’ensemble de l’organisation et mis en œuvre dans ses relations ».
Les objectifs d’une entreprise adoptant une démarche RSE sont clairs : avoir un impact positif sur la société, tout en demeurant économiquement viable et rentable, et minimiser ses impacts négatifs.
En résumé, la RSE aspire à rendre l’entreprise pérenne, à la faire grandir socialement, humainement et éthiquement.
L’entreprise associe dans cette démarche les « parties prenantes » qui regroupent tous les acteurs qui ont un intérêt dans ses activités. Elles peuvent participer à sa vie économique (salariés, clients, fournisseurs, actionnaires), observer et/ou influencer son comportement en interne et en externe (syndicats, ONG) ou être affectées, directement ou indirectement, par ses activités (communautés locales, collectivités locales, État...) de façon positive ou négative.
La norme ISO 26000 définit le périmètre de la RSE autour de sept questions centrales devant encadrer toutes les démarches RSE.
Cette norme érige également sept grands principes de la RSE, devant être respectés par les entreprises pour une gouvernance responsable.
Les trois composantes majeures de la RSE sont :